Chez les Grecs, se préparer à mourir était une tâche centrale régulée par des traditions précises. Il existait un « art du bien mourir ». S’expliquant par la surmortalité de ces époques, cette attitude a eu ces excès, jusqu’à la haine de la vie.

Aujourd’hui, il apparaît déplacé de parler de mort à un centenaire ou un cancéreux et la seule « bonne mort » que médiatise notre époque est l’euthanasie.

Pourtant la mort fait partie de nos vies. Lors des attentats de janvier, Mgr Vingt-Trois a signalé combien la mort, en réalité, est bel et bien là.

Avec lucidité et sobriété, comment réapprendre à mourir?