Que l’on soit passionné par son travail, qu’on y aille parce qu’il le faut ou parce qu’on le juge comme un mal nécessaire, il n’est pas toujours facile d’être fidèle aux efforts qu’il demande, ou de ne pas flancher au moindre écueil.

Déroulé de la soirée

19h45 : Accueil dans la nef du Collège des Bernardins

20h00 (attention aucune entrée au-delà de cette heure) :

• Dîner en silence
• Intermèdes musicaux chantés
• Lectures spirituelles et profanes

21h45 :

• Temps d’échanges et de convivialité autour d’une tisane et dessert
• Visite privée de l’exposition « Corita Kent. La révolution joyeuse » dans la sacristie du Collège des Bernardins

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Un souci, une fatigue, peut tout faire basculer. Un jour on est motivé, un jour on ne l’est plus. Quelles que soient les perceptions de chacun profitons au travers des lectures spirituelles et profanes de ce dîner de découvrir les valeurs positives du travail.

• « N'allez pas au travail comme à une corvée, alors que vous pouvez et devez en faire une prière ». Madeleine Delbrel

• « Le talent est un jardin et le travail est son jardinier». Vincent Thomas Rey

• Charles Péguy, dans « l’argent » nous invite à méditer sur l’honneur du travail.

La Bible regorge de référence au travail, nous exhortant à son bon accomplissement :

• "Quel que soit votre travail, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour plaire à des hommes" (Col 3, 23)
• "Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau." (Jn 6, 27)
• "Main nonchalante appauvrit, main diligente enrichit" (Pr 10, 4)

Les lectures spirituelles et profanes qui seront lues lors de ce dîner nous aiderons à poser sur le travail, sur son exigence, sur son sens, un regard de compréhension.